archi et bd la ville dessinée
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LaCité de l'architecture et du patrimoine (Palais de Chaillot – 1 place du Trocadéro 75016 Paris – tous les jours de 11h à 19h sauf le mardi et nocturne le jeudi jusque 21h – tarif : de 5 à 8
Archiet BD, la ville dessinée, Cité de l’Architecture, Cité Chaillot. Catalogue de l’exposition «BRICKS & BALLOONS» Mélanie VAN DER HOORN «Architecture in comic-strip form» p. -177-218 «Ecluse de Kembs / Niffer» éditions Al Dante «Batiment administratif et technique de Niffer», textes : Charles Pennequin (poésie) Photos : Philippe Ruault .
Lesamoureux de la bande dessinée sont heureux ce week-end puisqu’ils ont rendez-vous avec leurs auteurs préférés à l’occasion du festival A Tours de bulles qui se poursuit ce dimanche.
dessinéeà un thème plus large ou à des éléments de leurs collections, par exemple « Archi et BD, la ville dessinée »11. Dans le cas des expositions thématiques, il s’agit encore trop souvent de mêler ces deux espaces, la bande dessinée et les beaux-arts, considérés comme hermétiques l’un à l’autre. En résulte des
nonton film rab ne bana di jodi dubbing indonesia. Culture A la Cité de l'architecture, à Paris, une exposition explore la relation féconde entre BD et architecture. La BD est le neuvième art, si l'on suit le classement établi par le journal Spirou, en 1964. Il était temps qu'elle se confronte au premier, l'architecture. C'est chose faite, et en grand, avec l'exposition "Archi et BD, la ville dessinée", présentée jusqu'au 28 novembre à la Cité de l'architecture, à Paris. Disons-le, les albums de Tintin ou de Tardi sont bien plus populaires que les plans et maquettes de Jean Nouvel ou Frank Gehry. Et ce lieu compte sur cette exposition pour attirer un plus large public. Quelques experts vont chercher les origines de la BD dans les grottes de Lascaux, d'autres citeront quelques peintres qui ont tutoyé le genre, comme l'Italien Piranèse ou le Japonais Hokusai. L'exposition se limite à remonter au XXe siècle, dans une vision moderne ou futuriste de la ville. Le point commun est là "Architectes et auteurs de BD sont d'abord des visionnaires", expliquent les commissaires, Jean-Marc Thévenet et Francis Rambert, le premier spécialiste de BD, le second d'architecture. Mais en ne plongeant pas plus loin dans le temps, l'exposition se coupe d'une démonstration plus forte. 350 pièces sont réunies. Des planches de BD, des photos, couvertures de magazines, vidéos, plans de masse ou en coupes de bâtiments. Les planches sont retenues quand elles montrent une construction, au premier plan, ou qui sert de décor aux personnages. 60 % des oeuvres sont des originaux. Le reste est constitué de copies ou d'agrandissement. D'abord pour une meilleure compréhension du sujet, ce qu'assument les commissaires qui n'ont "pas voulu faire du muséal." Ce choix est parfois subi, lié au refus de prêter des fondations Hergé Tintin ou Jacobs Blake et Mortimer, aux batailles entre ayants droit ceux de Franquin, l'auteur le plus connu de la série Spirou, ou d'Hugo Pratt pour Corto Maltese. Ou à la charge de travail de certains auteurs, comme Art Spiegelman Maus. Mais nombre de maîtres sont présents, grâce à des collectionneurs qui ont offert des trésors ignorés. Certains montages surprennent par leur audace, de même que la scénographie de l'exposition, conçue par l'atelier Projectiles une sorte de boa assoupi, translucide et lumineux. Plus que l'architecture, c'est la ville que l'on voit dans cette exploration. New York, Chicago, Paris ou encore les cités fictives des super-héros comme Gotham City surnom de New York et berceau de Batman nourrissent ce mariage de deux arts. Mariage déséquilibré - l'exposition avantage la BD en tant qu'invitée du lieu. On peut voir toutefois des maquettes et dessins d'architecture le gratte-ciel rêvé de Mies Van der Rohe ou ceux de Rem Koolhaas, les utopies d'Archigram de Yona Friedman ou de Claude Parent, les projets en l'air de Jean Nouvel pour Paris... Finalement, le seul exemple de croisement achevé d'architecture et de BD est le Musée Hergé, construit par Christian de Portzamparc à Louvain, en Belgique. L'exposition suit la chronologie, avec juste ce qu'il faut de commentaires pour ne pas gaver le spectateur. Le parcours débute en 1905, apparition dans les suppléments dominicaux des quotidiens américains de la BD "moderne", avec cases et bulles. Il débute aussi à New York, avec Little Nemo, le héros imaginé par Winsor McCay, qu'il fait se balader au fronton et sur les toits des immeubles. Suit l'esprit moderne et l'Exposition universelle de 1958 à Bruxelles. L'Atomium atteste de la puissance de la BD franco-belge classique, de son intérêt pour le design ou pour ses contemporains architectes. Elle fait par ailleurs des incursions dans la banlieue avec Margerin puis Chauzy. La "ligne claire" du Néerlandais Joost Swarte éblouit. Il y a aussi des Italiens Vittorio Giardino, des Espagnols Mariscal, les Français sont en bonne place, Ted Benoit, Yves Chaland ou le surdoué Philippe Bertrand, mort le 16 mai, à qui l'exposition est dédiée. Les années 1990 ont bouleversé les codes. Les villes ont changé. Bombay, Shanghaï, Pékin ou Moscou remplacent New York, Paris et Tokyo. L'errance architecturale et existentielle est profonde. Ce sont d'autres sensations, d'autres visions de la ville. A l'arrivée, qu'en ressort-il ? Que tous les auteurs "modernes" ont dû se colleter avec l'architecture et la ville. Les grands anciens, comme Will Eisner, comme les auteurs actuels Riad Sattouf, Philippe Dupuy, Marc-Antoine Mathieu, Goossens, Pinelli et Berberian.... Les auteurs grand public Willy Vandersteen, Jean Van Hamme ou Dan Franck et les avant-gardistes Ilan Manouach, Michaël Matthys. Le spectre est large. Le dessin est réaliste ou utopiste. Des univers urbains surgissent des espaces sidéraux, campés sur des terres guerrières ou issus de rêves fantastiques et médiévaux Schuiten et Peeters, Jean-Claude Mézières, Enki Bilal, Philippe Druillet. "Nous avons voulu montrer qu'il s'agit vraiment de BD contemporaine, et qu'elle ne se résume pas aux petits Mickeys", dit Jean-Marc Thévenet. Pari réussi. "Archi et BD, la ville dessinée". Cité de l'architecture et du patrimoine, 1, place du Trocadéro, Paris 16e . Jusqu'au 28 novembre. De 5 € à 8 €. Tél. 01-58-51-52-85. Frédéric Edelmann et Yves-Marie Labé Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois Ce message s’affichera sur l’autre appareil. Découvrir les offres multicomptes Parce qu’une autre personne ou vous est en train de lire Le Monde avec ce compte sur un autre appareil. Vous ne pouvez lire Le Monde que sur un seul appareil à la fois ordinateur, téléphone ou tablette. Comment ne plus voir ce message ? 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La Cité de l'architecture et du patrimoine confronte en ce moment bande dessinée et architecture. Une expo qui vaut le coup d'oeil. Les organisateurs de l’exposition ont eu la bonne idée de construire un parcours qui sollicite d’abord notre imaginaire enfantin. Ainsi mis en confiance, on se laisse mener vers des concepts plus complexes. Un parcours original pour tous publics Le visiteur emprunte un long couloir de panneaux en PVC translucides, à luminosité variable et pulsative zig-zagant le long d’une trajectoire à l’opposé de l’à-plat des planches tant des auteurs de BD que des architectes. Au bout du couloir, des renfoncements dans lequel le visiteur peut s’attarder, abritent des projets plus érudits. Ce cheminement n’est jamais morne. L’œil peut prendre le temps de lire une page originale Bringing up father, de McManus, 1937 faire le tour d’une maquette l’atomium visionner un court film dessins animés de Superman lire le détail des agrandissements le HLM infernal de Jano, 1982 comprendre des projets architecturaux Le Grand Pavois de Jean Balladur 1967-1968 . L’exposition offre une belle mosaïque d’artistes internationaux, aux styles très variés. Elle est accessible et ludique puisqu’elle s’appuie sur la bande dessinée, art par essence populaire, pour initier les visiteurs aux techniques, plus élitistes, de l’architecture. L’ambition de ces commissaires nous convainc artistes et artisans se libèrent de la planche à dessin, contrainte matérielle originelle, en projetant dans l’espace mental ou physique leur imaginaire, avec pour même objectif de faire entrer la vie entre quatre côtés, sans l’y étouffer. Expo Mode d’emploi J’y vais quand ? Vite ! L’exposition s’achève le 28 novembre ! J’y vais avec qui ? Mon petit cousin de 12 ans c’est gratuit pour lui, et l’expo propose un parcours spécial fait d’ateliers à partir des dessins futés de Florent Chavouet Tokyo Sanpo, Ed. Philippe Picquier Ca dure combien de temps ? 1h30, de quoi, en un tour de monde, contempler un siècle de progrès foisonnants Je fais quoi après ? Je retrouve la vision en 3D en admirant la perspective de Chaillot sur la Tour Eiffel Je lis quoi après ? Mourir, Partir, Revenir, le jeu des Hirondelles, de Zeina Abirached éditions Cambourakis, 2007 l’auteur se souvient du Beyrouth de 1984, ville rétrécissant à mesure des dangers géopolitiques, des cessez-le-feu Ou encore World Trade Angels, de Fabrice Colin et Laurent Cilluffo éditions Denoël graphic errance post-traumatique dans un New York touché en plein cœur de son principe architectural Voyages autour des mégalopoles Les premier axe explore d’abord l’émergence des mégalopoles mondiales, du début du 20ème siècle. Les héros des premières bandes dessinées alors suppléments des grands quotidiens US enjambent les gratte-ciels, piétinent les distances, survolent les districts à l’image de Little Nemo de Winsor McCay Les auteurs imaginent leurs propres cités Métropolis pour Superman et Gotham City pour Batman. L’Europe. Ensuite, les villes européennes, comme le Londres de Blake et Mortimer sont les décors favoris des artistes de la seconde partie du siècle, de la contre-culture des années 60. Elles témoignent de l’angoisse urbaine, l’anonymat des foules Silent Blanket de Giandelli mais aussi de ses ressources la fête dans le sillage de la Movida Ceesepe, Mariscal l’inépuisable renouveau culturel. L’Asie. Tokyo et Pékin offrent, encore, de nouvelles perspectives depuis les années 80, villes de signes, denses et curieux alliages de tradition polyséculaires et de grand modernisme Jiro Taniguchi, Le Promeneur. Bandes-dessinées et architecture n’ont jamais cessé, enfin, de projeter des cités utopiques, idéales ou cauchemardesques le groupe Archigram, les Cités Obscures de Peeters. Expo Mode d’emploi J’y vais quand ? Vite ! L’exposition s’achève le 28 novembre ! J’y vais avec qui ? Mon petit cousin de 12 ans c’est gratuit pour lui, et l’expo propose un parcours spécial fait d’ateliers à partir des dessins futés de Florent Chavouet Tokyo Sanpo, Ed. Philippe Picquier Ca dure combien de temps ? 1h30, de quoi, en un tour de monde, contempler un siècle de progrès foisonnants Je fais quoi après ? Je retrouve la vision en 3D en admirant la perspective de Chaillot sur la Tour Eiffel Je lis quoi après ? Mourir, Partir, Revenir, le jeu des Hirondelles, de Zeina Abirached éditions Cambourakis, 2007 l’auteur se souvient du Beyrouth de 1984, ville rétrécissant à mesure des dangers géopolitiques, des cessez-le-feu Ou encore World Trade Angels, de Fabrice Colin et Laurent Cilluffo éditions Denoël graphic errance post-traumatique dans un New York touché en plein cœur de son principe architectural Parallèle entre l’évolution de la bd et celle des villes L’axe chronologique, lui, témoigne de l’affranchissement des artistes et artisans par rapport au cadre des planches à dessins. La ligne claire » concept dégagé par Swarte, dans les années 70 et 80, témoigne de la même volonté sur le bâtiment et le dessin narratif, de fonctionnalité, économie de moyens, épure des décors. Mais par la suite, le gaufrier » tel que Franquin surnommait le système quadrillé de la BD classique se brise. Les romans graphiques ne tiennent plus compte de ces délimitations le dessin explose son cadre, la narration se dilate, se perd. Quant à l’architecture, le style rectiligne haussmannien et l’agencement répétitif des ouvrants sur les façades, cèdent face aux nouvelles lignes architecturales faites de ruptures et de destructurations, qu’on retrouve dans le concept d’ oblique » de Claude Parent. Y aller Archi et BD, la Ville dessinée Tous les jours sauf le mardi, de 11h à 19h, et 21h le jeudi Cité de l’architecture et du patrimoine Palais de Chaillot 1, place du Trocadéro et du 11 novembre 75116 Paris Tél 01 58 51 52 00 Métro Trocadéro lignes 9 et 6 et Iéna ligne 9 RER Champs de Mars Tour Eiffel RER C Bus 63, 32, 82, 22, 30 Navette fluviale arrêt Tour Eiffel – Batobus Vélib’ 4 avenue d’Eylau Parcs auto 65, avenue Kléber / 19, rue de Passy / 82, rue de Passy Dépose bus place du Trocadéro Source Emilie Kestler StreetPress NE MANQUEZ RIEN DE STREETPRESS, ABONNEZ-VOUS À NOTRE NEWSLETTER
L’exposition Archi & BD », qui se déroulera à la Cité de l’architecture & du patrimoine du 9 juin au 28 novembre 2010 sur 1000 mètres carrés, dans la galerie haute des expositions temporaires, présentera au grand public, ou rappellera aux passionnés de la bande dessinée, les relations qu’entretiennent la bande dessinée et l’architecture. Dès le début du XXe siècle avec des auteurs comme Winsor McCay Little Nemo, George McManus La famille Illico, Frank O. King Gasoline Alley ou Alain Saint-Ogan Zig et Puce, la bande dessinée explore la ville, fascinée par le monde naissant qu’elle symbolise. Cette thématique, non seulement de la ville, mais des éléments immédiats qui s’y rattachent comme l’architecture, l’urbanisme, le design, l’Histoire ou la politique, est devenue le terrain idéal de descriptions esthétiques et de réflexions sur le monde contemporain avec des auteurs comme François Schuiten, Benoît Peeters, Enki Bilal, Moebius… L’exposition abordera, sans volonté d’exhaustivité, les représentations de la ville dans la bande dessinée. Le propos sera chronologique, des années 1900 à nos jours avec une présentation, en fin d’exposition, de projets particuliers la ville imaginaire de Villemolle des Requins Marteaux, le musée Hergé, la Maison de Verre, une commande de Jean Nouvel à des auteurs de bande dessinée. Cette chronologie sera ponctuée par des références aux métropoles. New-York, Paris et Tokyo seront observées à travers le prisme d’auteurs, comme Will Eisner, Jack Kirby, David Mazzuchelli, Riad Sattouf pour New York ; Blutch, Tardi, Dupuy-Berberian pour Paris ; Jiro Taniguchi, Osamu Tezuka, Toiyo Matsumoto, Maoki Urasawa pour Tokyo. Cette dimension internationale sera confirmée par la présence d’auteurs chinois et coréens. L’exposition suggérera également les filiations ou affinités entre auteurs de différentes générations, à l’instar de la ligne claire » de la fin des années 1970 Joost Swarte, Ted Benoit, Floc’h… qui fit référence aux grands maîtres belges de la bande dessinée des années 1950-1960 André Franquin, Maurice Tilleux, Will… Une grande diversité d’oeuvre et d’auteurs dans une scénographie inédite L’exposition Archi & BD » offrira au plus large public une vision de la densité artistique et culturelle de la bande dessinée sur un siècle de création. La scénographie, signée par l'agence Projectiles et inédite dans sa proposition de mise en lumière et en espace, valorisera les œuvres présentées. Au total 150 auteurs internationaux et 350 oeuvres contribuent à cette exposition qui veut également proposer un éclairage sur la période actuelle où la bande dessinée franchit de nouvelles frontières en matière de création, avec des auteurs de bande dessinée proches de l’art contemporain, comme Jochen Gerner, Ilan Manouach, Dominique Goblet, Thierry Van Hasselt, Christopher Hittinger. Un parcours pour le jeune public sera également proposé. Cette exposition consiste en un dialogue entre l’architecture et la bande dessinée. Des maquettes, des esquisses, des projets ou des réalisations de villes, bâtiments publics ou villas, des utopies dessinées par les plus grands architectes rappelleront cette familiarité d’imaginaires. En contrepoint des planches des auteurs de BD, où la ville est l’héroïne, le travail des architectes fait apparaître des influences issues du 9e art… Cet angle de l’exposition met de fait l’accent sur le mode de représentation de l’architecture et de la ville, et sa tentative d’exploration d’un univers connexe dessiné, depuis les années 1910 Sant’Elia jusqu’à aujourd’hui BIG, Herzog et De Meuron, André Jaque…, en passant par les années 1970 Archigram, Coop Himmelblau, Jean Balladur…. Autant de visions de la ville, révélant un appétit de prospective et l’envie d’explorer de nouveaux modes de vie. À Londres, à Vienne, comme à Madrid ou Paris, c’est une invitation au voyage dans l’invention de fictions urbaines et l’écriture des scénarios métropolitains les plus fantastiques. Afin que cette rencontre entre l’architecture et la bande dessinée soit pertinente, la Cité a souhaité confier le propos de l’exposition à Jean-Marc Thévenet, directeur du festival international de la bande dessinée d’Angoulême de 1998 à 2006, et à Francis Rambert, directeur de l’Institut français d’architecture. CITÉ DE L’ARCHITECTURE & DU PATRIMOINE – PALAIS DE CHAILLOT 1 place du trocadéro – PARIS 16e M° IÉNA OU TROCADÉRO OUVERTURE TOUS LES JOURS DE 11H À 19H SAUF LE MARDI – NOCTURNE LE JEUDI JUSQU’À 21H - ENTRÉE PAYANTE plein tarif – 8 euros / tarif réduit – 5 euros / gratuit pour les – 12 ans
Gabriella Giandelli vit et travaille à Milan où elle est née en 1963. Elle a commencé à publier des bandes dessinées en 1984 avec la scénariste Lilia Ambrosi. De 1984 à nos jours, elle a publié dans Alter Alter, Frigidaire, Dolce Vita, Strapazin, L’Echo des Savanes, Nova Express, Black. Elle mène parallèlement une activité d’illustratrice dans des revues, des maisons d’édition et de designer. Illustratrice de livres pour enfants, elle publie chez Mondadoriles les histoires de Milo, un enfant-lapin dont elle est la créatrice et a réalisé des couvertures pour les romans de Seuil jeunesse. Deux extraits d’Interieur ont déjà été publiés en 2006 dans la collection Ignatz des éditions Vertige Graphic. Gabriella Giandelli participe cette année à la grande exposition Archi & BD, La ville dessinée» à la Cité de l’architecture ainsi qu’à l’exposition Cent pour Cent bande dessinée à la Bibliothèque Forney à Paris.
Ils ont travaillé sur la Série Square Eyes Prix public 27,95 € Paru le 30 Septembre 2020 Album BD de la Série Square Eyes Dessin Anna Mill Scénarios Anna Mill , Luke Jones Editeur DELCOURT COMICS Collection OUTSIDER Genre Drame Public Ados-Adultes EAN 9782756042060 Album BD en couleur et n&b, Couverture Cartonnée En mm largeur 237, hauteur 269, épaisseur 28 256 pages Ce qu'en dit l'éditeur ..... Pour la première fois de sa vie, Fin sort du réseau. Quelques mois plus tôt, elle avait inventé un programme si puissant et étrange qu'elle était devenue invincible. Jusqu'à ce qu'elle ne le soit plus. Maintenant, elle est bloquée hors des systèmes virtuels qui contrôlent la société. Une autre femme vit dans son propre appartement comme si de rien n'était. Fin n'a pas le moindre souvenir de comment tout cela a pu arriver... Pendant ce temps, des gens disparaissent mystérieusement des rues de la ville et la technologie qu'avait inventé Fin pourrait en être la cause.
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